Occurences de l'expression
cou
pour BARBIER, Marie-Anne
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
LA MORT DE CÉSAR (1745)
- Ah ! Cesse un entretien dont le cours m'importune ; v.11 (Acte 1, scène 1, OCTAVIE)
- Songe aux torrents de pleurs qui coulent de ses yeux : v.41 (Acte 1, scène 1, OCTAVIE)
- Et pour avoir à Rome annoncé leur courroux ? v.49 (Acte 1, scène 1, JULIE)
- Ont-ils dit que César en dût sentir les coups ? v.50 (Acte 1, scène 1, JULIE)
- Tout le peuple Romain vous couronne aujourd'hui. v.98 (Acte 1, scène 3, ANTOINE)
- Suspendit à nos yeux un courroux légitime ; v.128 (Acte 1, scène 3, ANTOINE)
- Il faut te découvrir mon âme toute entière : v.168 (Acte 1, scène 4, CÉSAR)
- Tu sais par quels travaux, courant de guerre en guerre, v.179 (Acte 1, scène 4, C?SAR)
- Incertain de mon sort j'ai recours aux victimes, v.192 (Acte 1, scène 4, CÉSAR)
- Je cherche, mais en vain, le secours des ténèbres, v.196 (Acte 1, scène 4, C?SAR)
- Je cours venger Crassus, le Sénat, Rome entière : v.244 (Acte 1, scène 5, CÉSAR)
- Mais je sais si le sort, chez le Parthe où je cours, v.253 (Acte 1, scène 5, C?SAR)
- De mes exploits passés interrompait le cours, v.254 (Acte 1, scène 5, C?SAR)
- Va, cours de tes refus instruire l'inhumaine : v.279 (Acte 1, scène 5, CÉSAR)
- Elle recouvre plus qu'elle ne perd on moi ; v.310 (Acte 1, scène 5, BRUTUS)
- Courez-donc chez Porcie, et prévenez son âme. v.331 (Acte 1, scène 6, FLAVIEN)
- C'est trop perdre en discours un temps si précieux, v.338 (Acte 1, scène 6, BRUTUS)
- À secouer le joug nos citoyens sont prêts. v.382 (Acte 2, scène 1, PORCIE)
- Et pourquoi recourir à cet affreux remède, v.403 (Acte 2, scène 2, CÉSAR)
- En vain je la parcours pour trouver un Romain v.413 (Acte 2, scène 2, C?SAR)
- Oui, je vous dois beaucoup : mais quand je considère v.423 (Acte 2, scène 2, PORCIE)
- À travers vos discours j'entrevois votre haine, v.464 (Acte 2, scène 2, CÉSAR)
- Montre assez qui de nous était le plus coupable. v.484 (Acte 2, scène 2, CÉSAR)
- Après ce dernier coup qu'on vient de me porter ? v.514 (Acte 2, scène 3, PORCIE)
- Auriez-vous découvert... v.595 (Acte 2, scène 6, OCTAVIE)
- Hélas ! Quand je craignais de si funestes coups, v.645 (Acte 2, scène 6, OCTAVIE)
- Puisse-t-il à son tour m'écouter sans courroux. v.662 (Acte 2, scène 6, ANTOINE)
- Grossirait à ses yeux les périls où je cours. v.690 (Acte 3, scène 1, BRUTUS)
- Qui peuvent au Tyran porter cent coups mortels. v.746 (Acte 3, scène 2, PORCIE)
- Oui, j'y cours... v.749 (Acte 3, scène 2, PORCIE)
- Ah ! D'un courroux trop lent puisque l'on se défie, v.779 (Acte 3, scène 3, BRUTUS)
- J'ai pris soin, que ne peut une amante en courroux ? v.797 (Acte 3, scène 3, PORCIE)
- À ses yeux, s'il se peut, peignez-moi plus coupable ; v.808 (Acte 3, scène 3, BRUTUS)
- Antoine à tous nos coups va l'exposer en bute, v.827 (Acte 3, scène 3, BRUTUS)
- Elle m'a des mortels nommé le plus coupable : v.836 (Acte 3, scène 5, BRUTUS)
- Elle a moins éclaté, c'est beaucoup pour Porcie, v.840 (Acte 3, scène 5, BRUTUS)
- À de si beaux desseins prêtez votre secours, v.849 (Acte 3, scène 5, CÉSAR)
- Pour divers intérêts voyez tomber nos coups, v.913 (Acte 3, scène 6, ANTOINE)
- De mes faibles secours vous allez vous passer, v.921 (Acte 3, scène 6, ANTOINE)
- Arrêtez, téméraire, ou craignez mon courroux. v.929 (Acte 3, scène 6, CÉSAR)
- Et peut-il me porter de plus terribles coups ? v.930 (Acte 3, scène 6, ANTOINE)
- Quand d'un courroux si prompt une âme est enflammée, v.943 (Acte 3, scène 5, CÉSAR)
- Découvrait des complots, et contre votre vie ? v.960 (Acte 3, scène 5, OCTAVIE)
- Malgré sa perfidie à vos yeux découverte, v.964 (Acte 3, scène 5, CÉSAR)
- Mais quoi ? Tu cours déjà sur les traces cruelles, v.996 (Acte 3, scène 9, CÉSAR)
- Non, je n'ai pas besoin du secours de vos larmes ; v.1043 (Acte 4, scène 2, CÉSAR)
- Malgré son attentat, malgré tout mon courroux, v.1053 (Acte 4, scène 2, CÉSAR)
- Écoute, et par ces mots juge si de Preneste v.1087 (Acte 4, scène 3, CÉSAR)
- Vous pouvez prévenir le coup qui vous menace. v.1101 (Acte 4, scène 3, ALBIN)
- Tandis que par sa mort couvert d'ignominie. v.1113 (Acte 4, scène 3, CÉSAR)
- Ah ! Seigneur, à vos yeux qui m'a rendu coupable ? v.1150 (Acte 4, scène 4, BRUTUS)
- Et c'est là de mon sort le coup le plus horrible, v.1157 (Acte 4, scène 4, CÉSAR)
- Lui prêtait contre vous un secours redoutable ; v.1182 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- Et par moi ce secours marcha vers Bibulus. v.1184 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- Ce grand coup, et cent fois vous l'avez dit vous-même, v.1185 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- Du chef Gabinius quel que fût le courage, v.1193 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- Je le bravai pourtant, et mes heureux secours v.1195 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- J'y courus par votre ordre, et trop sûr de ma foi, v.1203 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- Sans vous importuner, Seigneur, d'un long discours, v.1215 (Acte 4, scène 4, BRUTUS)
- Croyez-vous que César, par ce discours s'abuse ? v.1245 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- Oui, j'ai de vos soldats animé le courroux ; v.1251 (Acte 4, scène 4, ANTOINE)
- J'aime mieux m'avancer vers le coup que j'attends, v.1267 (Acte 4, scène 4, CÉSAR)
- Obéissez aux Dieux qui vous nomment coupables, v.1270 (Acte 4, scène 4, C?SAR)
- Frappez ; qu'aucun effroi ne retienne vos coups : v.1271 (Acte 4, scène 4, C?SAR)
- Je vous quitte, je cours où l'amitié m'appelle ; v.1338 (Acte 4, scène 5, ANTOINE)
- La conjuration, Seigneur, est découverte ; v.1350 (Acte 5, scène 1, FLAVIEN)
- Gardez pour d'autres tems ce courage intrépide, v.1361 (Acte 5, scène 1, FLAVIEN)
- Tantôt loin de s'armer d'un funeste courroux, v.1387 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
- Il s'avançait lui-même au-devant de mes coups, v.1388 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
- J'ai vu dans ce moment ses pleurs prêtes à couler ! v.1391 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
- Ces mots rallument mon courroux ? v.1404 (Acte 5, scène 1, BRUTUS)
- Et qu'un fer inhumain en doit trancher le cours. v.1432 (Acte 5, scène 2, BRUTUS)
- Et que deviendrait Rome après ce coup funeste ? v.1445 (Acte 5, scène 2, BRUTUS)
- Encore un coup, Seigneur, n'allez pas au Sénat. v.1452 (Acte 5, scène 2, BRUTUS)
- Courez de nos amis dissiper la frayeur : v.1455 (Acte 5, scène 2, CÉSAR)
- Je ne crains plus les coups qu'un traître me destine. v.1458 (Acte 5, scène 3, CÉSAR)
- Des mortels, s'il le faut, je suis le plus coupable : v.1470 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
- Ô Ciel ! Où courez vous ? v.1475 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
- En ce fatal moment souffrez qu'à mon secours v.1479 (Acte 5, scène 3, BRUTUS)
- Il fuit. Courons.... Arrête.... Où vas-tu, malheureux ? v.1496 (Acte 5, scène 4, BRUTUS)
- Au milieu du Sénat vas-tu le couronner ? v.1499 (Acte 5, scène 4, BRUTUS)
- Ah ! Seigneur, accourez, ou nous avons un maître. v.1554 (Acte 5, scène 6, FLAVIEN)
- Ne craignez plus, César veut couronner sa flamme : v.1582 (Acte 5, scène 8, OCTAVIE)
- Je cours des plus mutins apaiser le murmure ; v.1605 (Acte 5, scène 10, ANTOINE)
- Peut-être appelle-t-il Brutus à son secours : v.1616 (Acte 5, scène 10, ANTOINE)
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LE FAUCON (1719)
- Ah ! Que j'aime un Oiseau, qui par un seul coup d'aile, v.7 (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Mais vous les écoutez comme des fariboles, v.48 (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Quel bruit vient me frapper ? Cours, va voir ce que c'est. v.97 (Acte 1, scène 1, FEDERIC)
- Cours, et viens m'informer de tout ce qui se passe. v.104 (Acte 1, scène 1, FEDERIC)
- On vient. Écoute. v.171 (Acte 1, scène 3, FEDERIC)
- Je me connais trop bien : mais quittons ces discours. v.198 (Acte 1, scène 4, AXIANE)
- Après avoir longtemps couru de plaine en plaine, v.211 (Acte 1, scène 4, AXIANE)
- Monsieur, je n'ai pas le courage v.215 (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
- Pour un mot lâché, deux cents coups de bâton. v.245 (Acte 1, scène 5, FEDERIC)
- Écoute. v.252 (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
- Encor si de son mal j'étais seule coupable ; v.264 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Vient par tous ses discours de vous faire connaître, v.283 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Soit, mais de tout cela suis-je coupable moi ? v.285 (Acte 1, scène 6, AXIANE)
- Quoi ? Dans tous vos discours trouver fuite sur fuites ! v.300 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Je viens de voir son sang couler avec mes pleurs. v.390 (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- Par qui l'on puisse voir des basse-cours peuplées, v.395 (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- Vraiment, il s'y prend bien, d'un coup il nous accable. v.411 (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- À ta feule pitié me fait avoir recours : v.418 (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- Qu'il ne tient plus qu'à moi de te sauter au cou. v.461 (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- Par le coup imprévu dont tu frappes mon coeur. v.514 (Acte 1, scène 11, FEDERIC)
- Je viens à votre coeur porter les derniers coups : v.517 (Acte 1, scène 11, AXIANE)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 2 textes (soit une présence dans 0,11 % des textes) dans lesquels il y a 106 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 53,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | LA MORT DE CÉSAR | 17 | 10 | 18 | 20 | 20 | 85 |
2 | LE FAUCON | 21 | 0 | 0 | 0 | 0 | 21 |
Total | 38 | 10 | 18 | 20 | 20 | 106 |